Where is my umbrella ?
Il se dit que l'Irlande, c'est comme la Bretagne, il fait beau, et parfois même plusieurs fois par jour.
Il est dit aussi que les gens qui ont la main droite posée sur la souris en lisant ces lignes pensent que l'Irlande est le pays de la pluie. Bon.
Eh bien s'il y a une chose que j'ai oubliée en France, ce sont mes lunettes de soleil. En trois semaines, on en est au 4ème jour nuageux. Le café se prend dehors, sucré, à midi et en ticheurte. La luminosité est assez forte et je la tolère à peine en plein après-midi. C'est peut-être un peu dû à ma récente ablation de la myopie, aussi, me direz-vous.
Le soir, bercé par les ivrognes chants du village étudiant voisin, on échouerait presque sur les rivages ensoleillés du sommeil si l'on se laissait un peu aller. La nuit, réveillé par les ivrognes chants du village étudiant voisin, il est possible de sortir nu-pieds, sans imperméable, pour aller se calmer ses nerfs dans une promenade, enveloppé de la tiède et douce atmosphère étoilée.
J'ai quand même acheté un parapluie et un gilet en laine polaire, on ne sait jamais.
Il est dit aussi que les gens qui ont la main droite posée sur la souris en lisant ces lignes pensent que l'Irlande est le pays de la pluie. Bon.
Eh bien s'il y a une chose que j'ai oubliée en France, ce sont mes lunettes de soleil. En trois semaines, on en est au 4ème jour nuageux. Le café se prend dehors, sucré, à midi et en ticheurte. La luminosité est assez forte et je la tolère à peine en plein après-midi. C'est peut-être un peu dû à ma récente ablation de la myopie, aussi, me direz-vous.
Le soir, bercé par les ivrognes chants du village étudiant voisin, on échouerait presque sur les rivages ensoleillés du sommeil si l'on se laissait un peu aller. La nuit, réveillé par les ivrognes chants du village étudiant voisin, il est possible de sortir nu-pieds, sans imperméable, pour aller se calmer ses nerfs dans une promenade, enveloppé de la tiède et douce atmosphère étoilée.
J'ai quand même acheté un parapluie et un gilet en laine polaire, on ne sait jamais.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil